Les portes enfin fermées,
Nous restons seuls ce soir.
Trop tard pour oublier,
Nos yeux se ferment en vain.
Les vitres si épaisses,
Leurs poings s'y brisent encore.
Ils garderont le silence,
Jusqu'à un autre soir.
Ils reviendront bient�t,
Tant d'autres sacrifices.
Mais plus aucune importance,
Personne n'a jamais mal.
Le septième jour venu,
Il leur faudra choisir.
Ils n'auront plus jamais peur,
Et plus de larmes.
Ils reviendront bientôt,
Tant d'autres sacrifices.
Je sais ce qu'ils peuvent faire,
J'ai vu ce qu'ils pouvaient faire.
N'importe quel soir.